Bénédicte
L’invisible pour moi… ça commence avec le licenciement. La fermeture de l’usine. Comme un chemin du virus à la gangrène. La part coupée de la part qui reste. Coupée, invisible… L’invisible… Sans rien à produire, sans rien cadence à tenir… Sans estime. Avec ce sentiment d’être l’inégal… Même dans le rythme des choses… …